samedi 4 novembre 2006,
Ce texte est celui d’une intervention au colloque « Laà¯cité, vérité, enseignement » de l’à‰cole Supérieure de L’à‰ducation Nationale, Paris, 2006.
Lorsqu’il s’agit d’assurer la vérité indiscutable, absolue d’une proposition, d’un fait ou d’une thèse, il n’est pas rare que soit employée l’une ou l’autre des expressions suivantes : « c’est mathématique  » ou, au choix, « c’est parole d’évangile  ».
Voici donc que vérité, religion et mathématiques se trouvent immédiatement associées. Ce texte, à vocation pédagogique, présente les arguments qui ont validé cette association et relèvent leurs faiblesses.
On verra aussi comment une discussion profane et laà¯que peut s’interroger sur la vérité des mathématiques et aussi comment on doit àªtre attentif à ces difficultés lorsqu’il s’agit d’enseigner cette curieuse discipline.
Professeur d’histoire et philosophie des sciences.
Philosophie et sciences à l’à¢ge classique.
à‰pistémologie des sciences de la nature.
Mathématiques à l’à¢ge classique.
Courrier électronique : Vincent Jullien
Chapitre de l’ouvrage « Les Mondes possibles », PUC, printemps 2006
Revue XVIIe siècle, 2006 n°233, 58e année
Un chapitre de « Philosophie naturelle et Géométrie au XVIIe siècle », H. Champion, 2006.
Vincent JULLIEN & André CHARRAK
De 1618 à 1646, une étude de la philosophie naturelle cartésienne