dans « Les formes historiques du Cogito » (dir. K. S. Ong-van-Cung)
L’héritage cartésien de Locke et Reid sur l’identité personnelle
dimanche 3 novembre 2019,
Cherchant à préciser ce qui assure la continuité du Moi, l’approche cartésienne la fait résider dans une substance pensante. En reformulant la question sous l’angle de l’identification de soi par soi, Locke fait reposer l’identité de la personne sur la seule conscience. Mais à partir de l’examen critique d’objections de Reid, nous montrons que Locke n’évince pas totalement la substance de la personne et nous précisons le rà´le qu’il attribue à la « màªme conscience  » dans la constitution de soi (par opposition à la mémoire).
Dans Les Formes historiques du cogito. xviie-xxe siècles, sous la direction de Kim Sang Ong-Van-Cung, Paris, éd. Classiques Garnier, 2019. L’ouvrage propose une histoire moderne et contemporaine du cogito, le « Je pense, donc je suis  », dont la valeur tient, en effet, non seulement à ce que Descartes a pu affirmer de l’ego, de la nature de la pensée et de l’existence, mais aussi à ce qui s’est ensuite écrit à son sujet.
Maîtresse de conférences
Philosophie britannique moderne, philosophie analytique de la connaissance
Courrier électronique : Angélique Thébert
Sous la direction de Céline Chérici, Jean-Claude Dupont et Charles T. Wolfe
Hermann éditeurs, 2018
Philosophical Enquiries, n°7, décembre 2016
Sous la direction de Rebecca Copenhaver (Lewis & Clark College) et Todd Buras (Baylor University)
Oxford University Press
Dossier sur Locke
n°3 de la revue Philosophical Enquiries
Matérialisme et nécessitarisme au XVIIIe siècle
Revue Dix-huitième Siècle, 26, 2014
, ,Philosophical Enquiries, numéro 1, juin 2013
Une solution reidienne au problème du critère
Igitur, Vol. 4, n°1, p. 1-25
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