Classiques Garnier, coll. « Histoire et philosophie des sciences  », 2018, 448 p.
mercredi 11 juillet 2018,
Que doit-on connaà®tre de l’évolution pour construire des classifications qui reflètent l’histoire des àªtres vivants ? à€ cette question, certains répondent de manière inattendue qu’on n’a, en fait, pas besoin d’en connaà®tre grand chose. Gareth Nelson affirme màªme qu’«  une bonne théorie de l’évolution naà®tra d’une bonne systématique, et non l’inverse  ». S’appuyant sur une lecture critique de la littérature cladistique des années 1950 à 1980, depuis les travaux pionniers de Willi Hennig jusqu’à ceux qui marquent l’émergence de la cladistique dite «  structurale  », cet ouvrage analyse les liens complexes qu’entretiennent, dans la discipline, théorie de l’évolution et théorie de la classification. Il s’adresse aussi bien aux philosophes qu’aux biologistes.
Chercheuse associée. Philosophie de la biologie, philosophie générale des sciences.
Courrier électronique : Sophie Pécaud Vermeil
Dirigé par J. Gayon et T. Pradeu
Vrin, 2021, 540 p.
Edited by D. Williams, M. Schmitt, and Q. Wheeler
Cambridge University Press, 2016, 485 pp.
Sous la direction d’O. Néron de Surgy et de S. Tirard
Belin, 2014, 144 p.
Systematics and Biodiversity, 2014, vol. 12, n° 2, p. 127-131.
M-à‰diter, coll. «  Livre’L  », 2014, 26 p.
M-à‰diter, coll. «  Livre’L  », 2011, 26 p.